la-vie-revee-des-anges

Il est grand temps de rallumer les étoiles

Samedi 26 septembre 2009 à 10:13

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Mes meilleures amies. Je crois que c'est comme ça qu'on dit quand on parle de ces gens dont on ne peut se passer. Vous êtes celles qui me manque quand je ne vous vois pas pendant plusieurs jours. Vous êtes ces rayons de soleil qui éclairent ma vie chaque jour avec vos messages, vos clins d'oeils, vos petites attentions. Vous êtes celles que je veux voir quand j'ai besoin de rire, de pleurer, de me changer les idées, de me confier. Vous êtes les personnes avec qui j'ai envie de passer mes samedis soir à écumer les bars et traîner dans les rues. Vous êtes des épaules sur qui je peux me reposer, des mains qui serrent la mienne quand le cœur n'y est pas, des sourires qui illuminent mon quotidien. Vous êtes celles à qui je ne peux rien cacher, ou en tout cas, pas grand chose. Celles à qui j'ai envie de tout dire, de mes peines de cœur à mes aventures d'un soir en passant par mes déceptions d'une journée. Avec vous je partage tant, mes doutes, mes pensées, mes interrogations, mes joies, mes hésitations. Vous êtes celles que je veux voir après une journée épuisante, déprimante, harassante. C'est votre amour pour moi qui fait battre mon cœur et rythme mes journées. Je vous connais depuis 7 ans, 9 ans ou 17 ans, vous êtes là depuis toujours, ou presque et vous connaissez tant de moi, je connais tant de vous, et la vie sans vous, je ne peux l'imaginer. Il suffit de quelques mots, une étreinte, un bisous de votre part pour que les nuages s'en aillent. Il suffit de votre présence, de vos sourires et de vos rires pour que mes journées prennent une autre voie, aient un autre sens. Ma vie sans vous ne serait pas une vie, où en tout cas une vie tellement différente. Malgré tout ces gens qui m'entourent, c'est vous que je veux voir à la fin de la journée, vous que je veux entendre me réconforter, vous que je veux serrer dans mes bras quand ça va pas. C'est avec vous et vous seules que je me vois passer mes années à venir, et je me dis que dans 10 ans, vous serez toujours là. Parce que depuis 7 ans, 9 ans ou 17 ans, vous êtes un morceau de ma vie, un bout de moi. Et qu'importe ce qu'il a pu se passer, qu'importe les tempêtes qui ont malmené notre amitié, parce qu'aujourd'hui vous êtes toujours debout, je suis toujours debout. Et dans 10 ans, 20 ans, 30 ans, on se retrouvera toujours autour d'un café, d'une bière ou d'un repas. Parce que vous êtes ma raison d'être, mes essentielles, mes préférences, mes meilleures amies...


 
Ooo you make me live,
Whatever this world can give to me
It's you, you're all I see
Ooo you make me live
You're the best friend
That I ever had
I've been with you such a long time
You're my sunshine
[ . . . ]
 

Mercredi 12 août 2009 à 11:48

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Je peux voir de l'or briller dans ses sourires,
Des mots cachés dans chacun de ses gestes,
Et l'amour qu'elle me porte au fond de son regard.
Pas besoin de paroles, ni même de jolies phrases,
Tout est dit.
Quand je lève les yeux, je la vois, elle est là
Et rien d'autre ne compte.
C'est un bout de jeune fille qui suit son chemin
Et grâce à qui, je peux suivre le mien.
C'est une présence, un soutien, un pilier.
C'est l'ancre qui empêche les vents de m'emporter.
C'est un phare qui éclaire ma route quand la tempête fait rage,
Une main qui se tend à travers le brouillard.
Et son visage me dit dès que je le regarde :
"Ca va aller, ce n'est pas grave, ne t'en fais pas."
Et ses mots anodins sonnent à mes oreilles
Comme une douce mélodie qui guide ma vie.
C'est un réconfort de chaque instant,
Une amie,
Une âme soeur.

Dimanche 26 avril 2009 à 22:59

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On ne se voit pas pendant un an, et quand on se retrouve c'est un peu comme si on venait de se quitter. On se raconte nos vies en diagonales, des bouts de nous lachés en vrac. Et chacune dans nos têtes on tente de défaire les noeuds et de reconstituer la toile de l'autre. On se raconte nos problèmes de coeur, nos soucis. Parce qu'avec toi, tout semble plus facile. Et puis on se souviens. De nos jeux d'enfants, de nos histoires de gamines, de nos après-midi sur les balancoires, de nos nuits à parler plutôt qu'à dormir. Et tout ça nous semble presque à portée de main. Parce que quand je suis avec toi, c'est comme si je redevenais vraiment moi. Pas besoin d'artifices, pas besoin de jolis mots ou de beaux sourires. Pas besoin de porter de masques. Parce que tu me connais comme personne d'autres ne m'a jamais connu. Tu me connais comme j'ai toujours été. Tu es celle qui a toujours été là, d'aussi loin que je puisse me rappeler, tu étais là. Tu es la première à qui j'ai parlé pour mon premier jour d'école. Celle avec qui je me déguisais les jours de carnaval. Tu es celle que j'appelais pour jouer les dimanches pluvieux. Celle qui m'a fait le plus pleuré le jour où tu m'as appris que tu déménageais. Celle que j'emmenais en vacances sans hésiter. Tu es celle à qui j'écrivais de longues lettres sur du papier diddle pour te raconter mes histoires de pré-ado. Celle avec qui je passais une semaine de chacun de mes vacances depuis mes 8 ans, soit chez toi, soit chez moi. Tu étais mon oxygène, mon rayon de soleil, ma raison d'être. Tu m'as vu grandir comme personne. Tu étais là. Quoi qu'il arrive. Puis le temps a passé. Nos visites se sont espacées. Nos lettres aussi. Mais maintenant, quand je te revois, c'est comme si rien n'avait changé. Les semaines sont devenus simplement des week-ends. Mais quels week-end... des week-end où nos vies s'entremèlent, exactement comme avant. Et à chaque fois, j'aimerais que tu restes ici, avec moi. Que tu saches tout, que tu connaisses tout ceux qui partagent désormais mon quotidien. Et chaque départ est un déchirement. Quand je te quitte sur le quai de la gare, que je te vois comme ce soir monter dans le train, je me dis que c'est trop court. Bien trop court. Mais ça ira. Malgré les larmes qui me picottent les yeux, ça ira. Parce que je sais que dans 10 ans, tu seras toujours là... et nos rêves d'enfants aussi...

So close no matter how far
Couldnt be much more from the heart
Forever trusting who we are
And nothing else matters

Never opened myself this way
Life is ours, we live it our way
All these words I dont just say
And nothing else matters
 

Mercredi 4 mars 2009 à 22:39

  
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When you're down and troubled
And you need a helping hand
And nothing, nothing is going right
Close your eyes and think of me
And soon I will be there
To brighten up even your darkest night

You just call out my name
And you know wherever I am
I'll come running to see you again
Winter, spring, summer or fall
All you have to do is call
And I'll be there, yeah, yeah, yeah.
You've got a friend








Paraitrait-il que je suis une super copine <3
Et maintenant j'ai ce sourire stupide collé sur mon visage, et  un baume au coeur.
Je suis une super copine =)
Mais pas autant que toi, oh non pas autant que toi.
Et ce pour toutes ces raisons qui me poussent à vouloit te mettre dans ma tête.
Je suis une super copine, et toi tu es comme un rayon de soleil dans ma vie...

Lundi 23 février 2009 à 22:08

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On ne s’étais pas dit rendez-vous dans 10 ans.
On s’est donné rendez-vous 9 ans plus tard, tout simplement.

16h sous la queue du Cheval. Le grand rendez-vous de tous les Lyonnais. 9 ans plus tard. Que le temps passe vite. La dernière fois qu’on s’est vu, on avait encore l’âge de jouer à la maîtresse et à la poupée. On grimpait aux arbres, jouait à la balançoire ou coiffait nos poupées. Ton petit frère avait 4 ans et était amoureux de moi. Ta sœur nous suivait à la trace. Je me souviens de ton appartement. Des lundis midis à manger chez toi. Des jeudis chez moi. Des 10 pas qui séparaient les portes de nos immeubles. Des tours de vélos, des élevages de gendarmes et de coccinelles. De la corde à sauter, du square de la résidence. Des cabanes dans les arbres, des bâtons qu’on coupait pour jouer à la maîtresse, de nos ventes de bracelet. Des soirs où j’allais dormir chez toi, de ceux ou c’est toi qui venait, de nos secrets qui n’en étaient pas vraiment. Des vacances dans le Sud avec ta famille, nos baignades dans le canal, nos cache caches dans le jardin et nos nuits dans la cabane. Du vide quand tu as déménagé, de la difficulté pour garder contact alors que tu n’habitais même plus dans le même pays, de la joie les deux fois où je t’ai revue. Puis de notre silence.

L’air de rien, ça passe vite, 9 ans. C’est beaucoup 9 ans quand on en a pas encore 20. Un peu moins de la moitié de notre courte vie. Mais pendant ces 9 ans, on s’est construite. Chacun de notre côté. Toi sous le soleil des pays du Sud, et moi, toujours au même endroit. On a vécu séparément. Les premières booms, les premiers amours, les premières déceptions. Toutes ces premières fois qu’on vit entre 11 et 20 ans, on les a vécu séparément. Et pourtant. Un réel plaisir de te revoir. Voir ce que tu es devenue, comment tu as grandis, ce que tu fais maintenant, comment tu vis la vie. C’est le sourire aux lèvres que je suis rentrée chez moi le soir. C’est avec l’envie de se revoir encore, avec tous ces autres qui ont partagés les mêmes bancs d’école que nous. Voir ce qu’ils sont devenus à leur tour. Et se remémorer nos souvenirs de gamins autour d’une tasse de café…

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